Notre assemblée Générale 2020-2021 prévue initialement le 8 décembre 2021 s’est tenue en visio mercredi 26 janvier 2022 en raison du contexte sanitaire. Adhérents, salariés et partenaires étaient au rendez-vous pour partager avec notre président Pierre Lafragette et notre directeur Guillaume Dhérissard les résultats de l’année écoulée, les perspectives du nouvel exercice et les ambitions des années à venir.

Une année 2020-2021 sous le signe de la COVID qui n’a pas impactée économiquement notre coopérative, au contraire : les magasins ont continué à séduire les consommateurs, le service agricole a continué à accompagner les adhérents dans l’évolution de leurs besoins et l’activité photovoltaïque a poursuivi sa progression.

Pierre Lafragette souligne que l’Assemblée Générale, comme d’autres évènements de la vie coopérative, sont des moments privilégiés d’échanges et de rencontre qui font défaut ces derniers mois. Des réunions par secteur seront organisées dès que le contexte sanitaire le permettra pour aller à la rencontre des agriculteurs adhérents.

Cette année, Damien Plantié éleveur caprin à Reyrevignes, Lionel Daynac, éleveur de Blondes d’Aquitaine à Camburat,  Johan Budka, éleveur de Limousines à Sousceyrac-en-Quercy rejoignent le collège agriculteurs, Caroline Marty, responsable RSE et Qualité rejoint le collège salarié.

Regards croisés et perspectives

Rapport moral de Pierre Lafragette, Président de Fermes de Figeac

« Nous voilà donc entrés dans une nouvelle période, passionnante et pleine d’enjeux. Nous vivons de nombreuses mutations climatiques, territoriales, sociétales…. Il faut continuer à inventer notre futur plutôt que de le subir. Nous pourrions être déboussolés par les forces de ce changement. Il nous semble, au contraire, qu’en renforçant notre modèle coopératif, notre lien au territoire et en restant mobiles dans nos métiers liés au vivant, nous gardons un bon cap. Nos magasins sont aujourd’hui reconnus et appréciés. Demain, en les faisant évoluer et en continuant à coopérer avec notre territoire, nous serons encore davantage acteurs d’une alimentation locale de qualité.

Notre service photovoltaïque se renforce et développe ses offres à destination des agriculteurs, des particuliers, des entreprises et des collectivités. Un nouveau projet mutualisé vient d’être lancé pour des projets supérieurs à 100kWc, d’autres sont d’ores et déjà lancés : des ombrières photovoltaïques ou encore des collaborations renforcées avec les coopératives voisines.

La méthanisation en petit collectif et en circuit court devient une nouvelle corde à notre arc. Les premières unités se lancent à Viazac et Labathude. Rapidement vont suivre Gorses et Espeyroux. Ce sont des projets très intéressants pour faire évoluer nos exploitations vers plus d’agroécologie et trouver davantage de robustesse économique, tout en renforçant la production d’énergies vertes.

Enfin, nous savons toutes et tous que notre agriculture va beaucoup évoluer ces prochaines années. Il faut être au rendez-vous pour toujours mieux accompagner les projets agricoles dans leur diversité et les mutations techniques et agronomiques. Nous renforçons le service agriculture dans ce sens et sommes en train de coconstruire, avec des partenaires publics et privés, le programme Fermes En Transitions – FET, avec l’ambition de faire de notre territoire, un territoire pilote en agroécologie en Occitanie. »

 

Le mot de notre directeur, Guillaume Dhérissard

« L’année 2020-2021 marquera les esprits. Nous avons vécu une crise épidémique sans précédent bousculant nos habitudes et nos activités. Les équipes de Fermes de Figeac ont néanmoins su s’adapter avec agilité et professionnalisme. Les résultats sont au rendez-vous, et ce dans nos trois métiers : l’approvisionnement agricole, la distribution de proximité et les énergies renouvelables. Elle a révélé également par contraste combien le travail des agriculteurs était précieux pour nos sociétés. La sécurité alimentaire, la vitalité des campagnes, l’autonomie énergétique sont revenus sur le devant de la scène et montrent combien notre secteur dit primaire est surtout un secteur premier essentiel. Fermes de Figeac y contribue à son échelle, avec rigueur et passion.

Ce fut également l’année d’un passage de témoin. Dominique Olivier après 37 années à la direction m’a passé la main. Je tiens à saluer son travail inspiré et passionné au service de notre coopérative et le remercier pour son accueil bienveillant et la qualité de sa transmission.

Fermes de Figeac a enfin changé ses statuts. Tout en gardant les principes coopératifs – un homme, une voix, non redistribution des résultats, elle a ouvert sa gouvernance pour mieux faire dialoguer les agriculteurs et ses parties prenantes. C’est un signe d’optimisme pour l’avenir car notre développement passera effectivement demain davantage encore par plus de liens et de collaborations. »

Accéder au RAPPORT d’ACTIVITÉS

La prairie est une culture à part entière qui a besoin d’être nourrie et entretenue. En particulier quand elle est destinée au pâturage des troupeaux. Sur notre territoire du Ségala, la quasi totalité de la production d’herbe se fait au printemps, car les mois d’été sont trop secs. Il est donc primordial de prendre de soin des prairies maintenant !

Pour optimiser la production et la qualité de l’herbe, les agriculteurs épandent en ce moment une partie de leurs fumiers et lisiers sur les prairies pour permettre le démarrage de la pousse de l’herbe au printemps.

Ces engrais organiques naturels complets composés d’azote, de potasse, de phosphore et de nutriments organiques vont nourrir les plantes qui constituent nos prairies, qu’elles soient naturelles ou temporaires,  en libérant graduellement les éléments nutritifs à la plante. Ce mécanisme relativement lent et progressif permet des apports au sol pour plusieurs mois. Ils vont aussi favoriser toute une biodiversité présente sur et dans nos sols, pérennisant ainsi la structure des prairies.

En Ségala, la majorité des prairies sont des prairies naturelles. Les prairies temporaires, composées de ray-grass, de trèfle ou encore le dactyle, sont elles implantées à l’initiative des agriculteurs pour permettre une rotation des cultures avec les céréales.

Les agriculteurs peuvent faire appel à la CUMA Lot Environnement qui propose une prestation d’épandage du lisier sur leurs parcelles // 05.65.40.82.71

 

 

Le groupe composé de jeunes agriculteurs adhérents et de jeunes salariés de la coopérative arrive à la fin de sa formation aux principes coopératifs sur le thème cette année des micro filières. 

Nourris de ce qu’ils avaient pu voir en 2021 pendant leur voyage d’étude dans la Drôme ils sont allés écouter des acteurs de la coopération sur notre territoire.  Ainsi, administrateurs de la coopérative, acteurs de filières courtes,  salariés adhérents de la coopérative, clients, élus se sont prêtés au jeu et ont répondu à leurs questions.

Après une journée de debriefing intense jeudi dernier, il ne leur reste plus que la dernière étape et pas des moindre : aller rencontrer le conseil d’administration pour lui faire part de leurs interrogations et lui proposer des préconisations en fonction de ce qu’ils auront découvert tout au long de la formation. Ce sera aussi l’occasion pour ces jeunes de découvrir un organe important dans la gouvernance de la coopérative et rencontrer l’ensemble des femmes et des hommes qui le compose.

Le groupe, dynamique et efficace relèvera ce défi haut la main!

 

Contact : Nadine Lambret: 05.65.40.82.71 ou nadine.lambret@fermesdefigeac.coop

Fermes de Figeac scrute chaque jour les cours du marché mondialisé des céréales pour acheter celles destinées aux troupeaux de ses adhérents. Leur prix dépend à la fois des conditions climatiques dans plusieurs régions du monde, comme les Etats-Unis, mais aussi des volumes d’achat et des quotas d’exportation de chaque pays producteur. La consommation et la production ne sont pas les seuls facteurs influençant les cours de céréales: la spéculation et la production de biocarburants pèsent fortement dans les négociations aujourd’hui.

Source : Terre-net

 

Les conditions climatiques actuelles continuent de soutenir les prix du maïs et du soja sur le marché mondial qui atteint aujourd’hui un prix élevé. Le cours du blé lui, est au plus haut depuis 9 ans mais certains quotas d’exportation actuels, maintiennent le cours de cette céréale. Pour autant, on estime à la baisse la part de blé tendre utilisé dans l’alimentation animale au profit du maïs.

Cette modification majeure dans les utilisations fourragères s’explique à la fois par la compétitivité accrue du maïs par rapport au blé tendre et par une récolte 2021 très bonne. Sur notre territoire du Nord-Est du Lot (2 000 hectares) 80% des cultures sont destinés au maïs ensilage. Le reste est stocké en maïs grain après être passé au séchoir pour nourrir les troupeaux. En complément du fourrage, le maïs assure l’autonomie fourragère des exploitations. Pour 1 ha de maïs cultivé, 13 tonnes de matières sèches sont récoltées, contre 8 tonnes pour l’herbe.

Diversifier ses cultures, c’est un moyen pour nos adhérents de rester autonomes sur le territoire face aux fluctuations du marché et aux évolutions climatiques.

Contactez votre technicien conseil selon votre secteur :

  • Frédéric FIGEAC 06 89 45 30 00 => secteurs Bagnac et Figeac
  • Nadine LAMBRET 06 80 34 16 38 =>secteurs Bagnac et Figeac
  • Charlotte BROUSSE 06 78 95 11 64 => secteur Lacapelle Marival et Agriculture BIO
  • Jean-Louis CASSAGNE 06 34 10 39 16 => secteur Latronquière
  • Henri CLAMAGIRAND 06 74 78 78 67 => secteur Sousceyrac

Une nouvelle année commence !

 Fermes de Figeac continue sa route originale au service des agriculteurs et du territoire. En étant audacieux et solidaires, nous sommes sûrs, cette année encore, que nous gagnerons à faire ensemble.

 Toute l’équipe Fermes de Figeac vous souhaite une bonne et heureuse année 2022 !

 

Depuis septembre 2021, notre plateforme de financement participatif Teamstarter est lancée ! Objectif: permettre à chaque collaborateur et collaboratrice Fermes de Figeac d’être acteur et actrice de sa coopérative en proposant des projets de cohésion, de qualité de vie au travail ou encore de RSE.

Sur cette plateforme, et avec l’aide de coachs dédiés, chacun, chacune peut créer et financer des projets internes grâce à un budget mensuel qui lui est alloué par l’entreprise. Partant du constat que les salariés sont les plus à même de détecter dans leur quotidien des moyens d’améliorer l’organisation et de proposer des idées qui correspondent à leurs attentes,  il était alors nécessaire de déployer un outil qui leur permette de libérer leurs initiatives et leur créativité.

Le premier projet de notre plateforme de crowdfunding interne Team Starter s’est concrétisé samedi 30 octobre à Lacapelle !

Proposée par Murielle Vazzoleretto, comptable à Lacapelle, l’idée de se promener tout en faisant un geste pour la planète a récolté 100% de fonds nécessaires et l’adhésion de 7 collaboratrices. Au départ du parking de la coopérative, elles ont arpenté la route nationale en direction du plan d’eau de Lacapelle, pour revenir par la déchetterie jusqu’à la Coop. Ce sont 12 sacs poubelles remplis de cartons, de bouteilles en verre, de mégots de cigarettes, d’emballages alimentaires et de plastiques qui ont pu être récoltés à cette occasion !
Et plus encore, le dialogue engagé avec les habitants et les commerçants pendant cet après-midi d’engagement collectif démontre un intérêt citoyen commun pour la préservation de notre environnement.

« Cet après-midi a été un véritable succès, même si peu de collaborateurs ont pu répondre présent, je pense que tous sont sensibles à l’impact environnemental. Ce genre d’initiative peut permettre de faire changer les choses (pas radicalement bien sûr mais Rome ne s’est pas faite un jour paraît-il !)
Certains participants ont même évoqué l’idée de se promener le week-end avec de quoi pouvoir ramasser des déchets sur leur lieu de promenade et toutes étaient d’accord pour renouveler cette expérience. Je suis bien entendu ravie, c’était tout à fait l’effet escompté ! »

Murielle Vazzoleretto, comptable à Lacapelle-Marival

 

Les projets continuent à émerger ! Une collecte de jouets pour Noël impulsée par Lucie Baccialone, conseillère vendeuse au Gamm Vert de Bagnac-sur-Célé.  Ou encore un atelier dégustation: pour faire découvrir aux autres ce que l’on peut cuisiner et déguster avec des produits locaux de saison, Jean-Baptiste a réalisé son premier projet Teamstarter sur le thème de la châtaigne.

« Je trouve que cette plateforme est un outil valorisant pour les salariés, qui peuvent exprimer leurs idées et partager des moments différents du quotidien autour de sujets qui les intéressent. Elle mérite d’être mieux expliquée à tous pour que chacun puisse l’utiliser. »

Jean-Baptiste Rollot, conseiller vendeur au magasin Gamm Vert de Lacapelle-Marival

 

Pour en savoir plus :

Caroline Marty, 06.17.32.34.27

Stéphanie Rouquette 06.74.49.02.05

Forte de ses expériences passées et consciente des transitions en cours, Fermes de Figeac souhaite aujourd’hui passer un cap dans ses projets d’innovation et ambitionne de déployer un programme de recherche-action dans la durée, afin de faire du Ségala-Limargue lotois un Living-Lab où s’invente, avec pragmatisme et raison, une agriculture du vivant pour le vivant.

Ce living-lab s’articulera autour de quatre axes de travail qui se renforcent l’un l’autre :

  • Le développement de nouvelles pratiques agroécologiques et d’élevage en collaboration avec des acteurs référents locaux, régionaux comme nationaux,
  • L’identification de nouvelles formes de rémunérations et chaines de valeurs pour que les agriculteurs vivent de leur production,
  • La recherche de solutions territoriales ou interterritoriales entre exploitations et entre le monde agricole et ses parties prenantes,
  • La transformation de notre propre organisation, ses métiers et compétences pour que l’accompagnement des agriculteurs demeure performant et adapté à des besoins de plus en plus complexes.

Ce programme intitulé « Fermes en Transitions » a vocation a enclencher les transitions pour les exploitations agricoles aussi bien que notre coopérative. Coconstruit, il va associer différentes entrées, techniques comme économiques, différentes échelles, la parcelle comme le territoire, différents domaines, l’accompagnement technique comme la facilitation territoriale de projets.

Comme tout Living-Lab, ce programme aura aussi vocation à inspirer d’autres territoires et accueillir divers acteurs du monde agricole et au-delà pour mettre en débat et challenger nos dynamiques.

Ce programme sera enfin résolument évolutif pour répondre chemin faisant à de nouvelles problématiques émergentes. Il nécessitera dialogue, écoute et persévérance ainsi qu’une gouvernance inclusive. Notre coopérative a d’ores et déjà enclenché sa mue interne avec la création d’un service dédié aux transitions agricoles et la mise en place d’une organisation plus transversale apte à stimuler notre intelligence collective.

Contact : Nadine Lambret, 06.80.34.16.38 / nadine.lambret@fermesdefigeac.coop 

Le nouvel arrêté tarifaire du 6 octobre 2021 modifie les conditions de l’obligation d’achat pour les installations photovoltaïques. Dans le cadre de l’obligation d’achat, le kilowattheure d’électricité photovoltaïque est vendu par le producteur à un tarif fixé par arrêté. Le producteur photovoltaïque injecte de l’électricité sur le réseau ; l’acheteur est obligé d’acheter l’énergie photovoltaïque à un prix fixé par la loi. Ce mécanisme permet d’aboutir à une rentabilité normale des capitaux investis sur la durée de vie des installations.

La principale nouveauté est le relèvement du seuil des installations photovoltaïques bénéficiant de l’obligation d’achat à 500kWc. Les principaux nouveaux critères introduits sont :

  • Le plafonnement de l’énergie susceptible d’être achetée : le prix de vente de l’électricité est réduit au-delà de 1100 kWh de production par kWc (voir tableau ci-contre),
  • L’exigence d’un bilan carbone inférieur à 550 Kg eqCO2/kWc (impact sur le choix des modules).

Tarifs appliqués au 4ème trimestre 2021

Ces tarifs sont figés jusqu’au 30 avril 2022 puis une baisse sera appliquée. Il n’y a plus de caution à déposer lors de la demande de raccordement.

 

Objectif : déposer le maximum de dossiers avant le 30 avril 2022 !

A la lecture de ce nouvel arrêté, Fermes de Figeac a travaillé sur la proposition d’une nouvelle opération mutualisée concernant l’installation de centrales comprises entre 100 kWc et 300 kWc, sur le modèle de la SAES déjà initié par la coopérative, à savoir un partenaire à la fois bailleur de ses toitures et actionnaire de la société porteuse.

Nous y voyons aussi l’occasion de traiter le cas des nombreuses toitures amiantées en proposant un groupement de projets en location de toiture. L’offre financière permettra un remplacement de la couverture amiantée par du bac acier, la pose des modules photovoltaïques ainsi que le versement d’un loyer au propriétaire.

Grâce au volume de projets et à l’approche mutualisée, les objectif de Fermes de Figeac sont de :

  • Sécuriser et optimiser la rentabilité économique des projets par la mutualisation des coûts et des risques,
  • Faciliter le financement des projets,
  • Sécuriser les projets sur la durée et capter 100% des richesses créées pour les bénéficiaires,
  • Permettre la réfection de toitures existantes pour un coût amorti par l’installation photovoltaïque,
  • Traiter à grande échelle les problèmes sanitaire et écologique de l’amiante,
  • Poursuivre le déploiement des énergies renouvelables sur le territoire.

Les premières réunions d’information viennent d’avoir lieu.  Vous êtes intéressé par cette démarche? Téléchargez la FICHE DE DÉCLARATION D’INTÉRÊT en cliquant ici !

Toutes les infos auprès de Maryane Lazard : 06.30.22.38.10 et maryane.lazard@fermesdefigeac.coop

 

Conscients des enjeux liés à la biodiversité, nos adhérents peuvent réaliser des diagnostics agroécologiques pour mesurer leur impact environnemental. Notre coopérative accompagne 50 exploitations du territoire en polyculture élevage dans la réalisation de cet audit qui évalue les pratiques de l’agriculteur, les performances de son activité et son engagement dans l’agroécologie.

Ces diagnostics permettent de placer l’exploitation agricole sur une échelle de valeur au regard de sa dynamique agroécologique. Force est de constater que, sur une échelle de 1 à 5, 95% des fermes auditées sont aujourd’hui classées au niveau 4, c’est-à-dire qu’elles ont déjà engagé une dynamique agroécologique soutenue. Les points forts des exploitations sur notre territoire :

  • Une maîtrise technique des élevages,
  • Un recours aux intrants limités en raison de l’utilisation d’effluents organiques,
  • Un territoire composé de 80% d’herbe favorable à la biodiversité,
  • Un parcellaire favorable à la circulation de la biodiversité.

Malgré une fragilité économique des systèmes d’exploitations qui, lorsqu’ils sont performants, dépendent des énergies fossiles, ces diagnostics révèlent une prise de conscience très forte de nos adhérents qui empruntent le chemin de l’agroécologie.

Dimanche 17 octobre, le soleil était au rendez-vous pour la 9ème édition de notre randonnée annuelle Sur les Pas des Éleveurs.  Une belle journée d’automne pour découvrir notre pays et les paysages du Haut-Ségala. Un temps privilégié de découverte et d’échanges avec les agriculteurs. Un véritable moment de convivialité partagé avec les 500 randonneurs et les 55 bénévoles mobilisés pour cette nouvelle édition.

20 agriculteurs adhérents à la coopérative nous ont accueillis sur cinq exploitations du Haut-Ségala. Ils ont ouvert les portes de leurs fermes pour expliquer leur métier et les pratiques qu’ils mettent en place en véritables acteurs des transitions agroécologiques, environnementales et énergétiques.

 

 

UN GRAND MERCI à…

  • Anne-Laure, Marie-Hélène et Christophe GASQUET – GAEC Les Cabris de Loisel, éleveurs de chèvres Saanen à Lauresses.
  • Régis et Sébastien RIGAL, Vincent TARAYRE, Jacqueline et Francis LACAM – GAEC Groucezet, éleveurs de Limousines, Charolaises, Salers et Prim’Holstein à Lauresses.
  • EARL Emmanuel Fourcat, éleveur de Limousines à Saint-Cirgues.
  • Nadine, Michel, Maxime, BENNET, Emmanuel AMADIEU et Franck Marroufin – GAEC du Rocher, éleveurs de Limousines à Lauresses et Sousceyrac-en-Quercy.
  • Anne-Marie et Jean-Luc LACAM – GAEC Laveyssette avec Jean-Claude VERMANDE, éleveurs de Limousines à Lauresses
  • Jean-Marc, Gilles, Bastien et Maxime GARDE – GAEC Lespinas, éleveurs de Prim’Holstein à Saint-Cirgues.

Sur les 3 parcours balisés de 9km, 15km et 22km, les haltes gourmandes chez les éleveurs ont régalé les marcheurs avec la production de la ferme ainsi que des produits locaux de: